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L'ASSOCIATION POUR UN SOURIRE D'ENFANT

Parce qu'ils étaient révoltés de voir des enfants vivre dans une décharge, Christian et Marie-France des Pallières ont posé leurs valises à Phnom Penh. Ils avaient parcouru le monde entier en camping car et écrit un livre magnifique sur leurs rencontres (4 enfants et un rêve, Edition Albin Michel et en format poche J'ai Lu, Flammarion). Ils auraient pu rentrer et retrouver enfin le confort de notre bel hexagone... mais Christian et Marie-France ont choisi de consacrer leur vie aux petits chiffonniers cambodgiens.

Depuis 1993, Pour un Sourire d'Enfant, PSE pour les intimes, n'a cessé d'installer l'espoir là où il n'avait pas sa place.

Dans la décharge, d'abord, où un abri ombragé offre 250 repas par jour et des soins gratuits aux enfants qui viennent y chercher un peu de répit, mais surtout dans le Centre pédagogique installé à dix minutes du champ d'ordures. Là, 600 enfants viennent quotidiennement, de 6h du matin à 17h. Au lieu de fouiller les déchets pour collecter le plastique (à raison de 600 riels, moins d'1F20 le sac plein, même pas le prix d'un repas), ils reçoivent un petit déjeuner avant de rejoindre leurs classes. Cours de khmer, d'anglais et de français, de gymnastique, de danse classique, de mathématiques... l'enseignement complet leur apprend qu'ils ne sont pas nés pour vivre dans la misère.
PSE a même engagé une Cambodgienne âgée, choisie pour sa bonté et chargée de leur réapprendre les belles valeurs traditionnelles, détruites par les Khmers Rouges. 600 autres enfants sont scolarisés dans les écoles avoisinantes. Pour que les parents acceptent que leurs enfants étudient au lieu de travailler, 3,5 tonnes de riz sont distribuées chaque semaine.

En plus des 50 salariés cambodgiens, PSE emploie une armée de bénévoles épanouis et heureux de tout donner à ceux qui n'ont rien.

Ces chiffres seront probablement déjà périmés lorsque vous les lirez. Car PSE ne se reposera jamais sur ses lauriers. Parce qu'il y a encore trop d'enfants dans la décharge, trop d'adultes analphabètes à aider, trop de travail pour baisser les bras. Les chiffonniers travaillent jour et nuit. Ils n'ont pas d'échappatoire car une sorte de "mafia des pauvres" régule tout : il faut même payer les chauffeurs de bulldozers pour avoir le droit de fouiller en premier dans les ordures. Quant à la ville toute proche, elle est codifiée pour les parias. Les poubelles n'appartiennent pas à tout le monde... Et la survie dans un climat de violence est déjà bien trop difficile pour se risquer hors du terrain connu.

Lorsque les femmes accouchent dans la décharge, elles coupent le cordon ombilical avec ce qu'elles trouvent, avant de mettre de la boue pour "aider" la cicatrisation. Le tétanos, la tuberculose et le SIDA pullulent. PSE vient de trouver un jeune médecin bénévole prêt à essayer de limiter les dégâts.

Parce qu'il est parfaitement intolérable qu'au XXIième siècle, des être humains meurent dans une décharge, brûlés par les feux d'ordures, écrasés par des bulldozers, ou noyés dans la boue épaisse, nous avons voulu dire ce que nous aurions préféré ne pas voir.


Mais c'est aussi dans cette décharge que nous avons vécu les plus beaux moments du voyage, parce que l'Espoir est là, et c'est magnifique.


Si l'action de P S E vous intéresse, vous pourrez avoir plus d'information en posant quelques questions par E-mail bien sûr, à Marie Delasimone , ou aussi à Gwénola.
Marie Delasimone a passé un an à Phnom Penh, en tant que chargée de la gestion. Elle connait les rouages de l'association.
Gwénola a donné des cours de Français pendant une année aussi, au sein de l'école de Papy et Mamy.

Concrètement, pour aider, le plus simple, c'est de soutenir directement un élève sur place. Pour ce faire, vous pouvez verser 24 Euros par mois à P S E. Cela suffira a nourrir votre petit protégé, le maintenir en bonne santé, lui donner un enseignement unique qui lui permettra de prendre conscience que son avenir n'est pas dans une décharge.

Important: vous recevrez un reçu fiscal (déduction de 50% dans la limite des 6% du montant imposable). En clair, pour un parrainage, cette aide ne vous coûtera que 12 Euros par mois ( 1/2 baguette par jour ), au lieu des terrifiants 24 Euros annoncés précédemment. Pas excessif, non ?
En pratique, un reçu fiscal est effectivement envoyé à chaque réception de chèque de don, et un reçu fiscal annuel est envoyé dans le cas des prélèvements automatiques.

Pendant les années 2000 et 2001, vous pouvez aider assez facilement les chiffoniers.
Voici 3 formules selon vos goûts:

  • Vous pouvez remplir cet e-Formulaire en 2 temps 3 clics, et l'envoyer. (évidemment, présenté comme cela, c'est simple et rapide !).
    Cet e-formulaire vous permet de demander une autorisation de prélèvement.


  • Encore plus simple: si vous vous êtes déjà décidé pour le prélèvement automatique, remplissez cette autorisation de prélèvement automatique.


  • Si un parrainage ne vous tente pas, un petit don, cela ne fait de mal à personne.
    Imprimez et envoyez ce BON (oui, cliquez ici) accompagné d'un chèque libellé à l'ordre de:
    " Pour un Sourire d'Enfant"


  • Toutes les infos utiles sont bien sûr précisées dans le Formulaire de Parrainage ou le Bon, pour votre don.



    Envoyez votre message : PARRAINAGE avec PSE

    Destinataire : psefrance@wanadoo.fr
    Objet : À L'ATTENTION DE M et Mme Guy d'Amonville
     

    Avec 30 Euros par mois (coût réel : 15 Euros, après déduction fiscale), vous assurerez la prise en charge d'un enfant... En complétant ceci :

    Message :
    Civilité :   monsieur       Madame       Mademoiselle
    Nom :
    Prénom :
    Téléphone :
    Mel :
    Adresse complète
    Numéro :
    Rue :
    Code Postal :
    Ville :
    Pays :
     

    NB : M et Mme Guy d'Amonville gèrent la collecte de fonds pour le compte de l'association "Pour un Sourire d'Enfant".

     

    [La saisie des champs dont les titres sont libellés en rouge est obligatoire.]

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